Des milliers de Chinois viennent chaque année travailler sur des chantiers en Algérie, résidant dans des bases-vie isolées dans le désert. Certains y meurent, sans être rapatriés. À partir de témoignages, de rumeurs et de fake news, Marcel Mrejen bâtit une parabole aux accents dystopiques sur l’exploitation (néo)coloniale sans fin du territoire algérien.