Le Grand Condor atteint la mer et longe la côte ; devant lui s’étend un grand arc-en-ciel. Soudain, les lumières du tableau de bord s’illuminent et le manche de pilotage se fige, rendant l’appareil incontrôlable. Le Grand Condor semble aspiré par l’arc-en-ciel et entame un piqué vertigineux pour terminer sa course au fin fond d’une immense fosse qui semble avoir été creusée en pleine forêt. Malgré plusieurs tentatives, Esteban est incapable de faire redémarrer la machine ; au contraire, la cabine s’ouvre et le bec de l’oiseau, en s’abaissant, creuse une cavité dans la paroi de la grotte.