Malgré un esprit cartésien, les médecins ne peuvent échapper à une part de subjectivité. Ils ont beau s’être forgé une carapace, il leur arrive régulièrement d’être touchés par leurs patients. S’ils développent une empathie naturelle pour certains, d’autres, comme ceux qui ne s’aident pas eux-mêmes, suscitent parfois des sentiments plus négatifs. Liés par le serment d’Hippocrate, comment parviennent-ils à soigner tous leurs patients avec objectivité et une même rigueur?